Soyons + que 10!
En renvoyant vers la torture d’une dictature des migrants qui cherchaient une protection et en mentant à ce propos devant le Parlement, Théo Francken a commis une faute grave. Ce n’est pas la première : propos racistes, refus de respecter des décisions de justice, déni d’asile, sympathie pour les anciens collaborateurs nazis… Il y a plus que matière à démission ou licenciement. Pourtant le gouvernement Michel – De Wever continue à le couvrir (en le recadrant pour la forme). Le premier ministre refusant de prendre ses responsabilités ou cautionnant pleinement la politique xénophobe menée par ses ministres, les citoyennes et...
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