La marche des communs a traversé des territoires où les humains et paysages sont en danger.
Le 30 et 31 mais nous avons marché des sentiers interdits du Bois de Laury aux gaz de mine d’Anderlues, des humains migrants aux oiseaux migrateurs, chaque situation raconte une seule et même histoire : celle de la satisfaction immédiate de profits particuliers aux dépens des intérêts de la collectivité.
Nous sommes allé à la rencontre de situations où le bien commun est pleinement considéré comme un bien dans une pure logique de gestion et de profit. Nous sommes allé à la rencontre de situations où le commun s’estompe devant les intérêts de quelques-uns et les logiques de propriété.